Compte tenu des faits désormais avérés, Géraud de la Pradelle, président de la Commission d’enquête citoyenne sur le génocide tutsi, explique pourquoi il est inévitable d’envisager la mise en cause judicaires d’hommes politiques, de hauts fonctionnaires, d’officiers supérieurs, de simples soldats ou même de banquiers français, notamment au titre de la participation directe ou de la complicité dans le génocide.
200 p. Editions les Arénes.19,90 €.