L’équipe de faucons qui a dompté les États-Unis, entraîné quelques rares alliés (Blair, Aznar, Berlusconi... ) et des États clients, a déclenché dans la nuit du 19 au 20 mars son putsch contre la légalité internationale existante. Un coup de force mûri et parfaitement conscient, aux conséquences immenses. Le pire est possible : un engrenage conduisant, de haines en représailles, de terrorismes en “guerres préventives”, à une vendetta universelle, une guerre de tous contre tous où les warlords pousseront comme des champignons. Les habitants (…)