La Société Générale adore aussi les pourcentages sur le brut africain et les spéculations françafricaines. Elle s’en mord parfois les doigts. Elle avait assez d’expérience du microcosme françalgérien pour savoir la nature mafioso-barbouzarde du groupe Khalifa. Elle lui a pourtant laissé prendre 29 % du capital de sa filiale algérienne… La débâcle de ce partenaire peu présentable ne va pas relever l’image de la Société.