Pourquoi la Deutsche Bank éprouve-t-elle le besoin de fourguer à un État richissime en or noir, la Guinée équatoriale, un prêt de 400 millions de dollars gagé sur le pétrole futur (LdC, 04/12/2003) ? Le pétrole présent ne suffirait pas ? L’on sait plutôt que ces préfinancements sont l’occasion de commissions et détournements gigantesques. Et l’on ne s’étonne pas de retrouver, “syndiqués” derrière la DB les banques françaises Société Générale et Natexis, goulues de ce genre d’aubaines.