Incontestablement, bien des brèches ont été ouvertes en avril dans la négation de la complicité française avec les auteurs du génocide de 1994 au Rwanda. Dans nombre de médias et une partie de l’opinion publique française. Certaines brèches bien visibles, d’autres minuscules. Il faut maintenant nous employer à les élargir, à ne pas laisser refermer ce scandale, telle une plaie suppurante. Survie va s’y employer, au sein de la “ Commission d’enquête citoyenne sur le rôle de la France durant le génocide des Tutsi au Rwanda en 1994 ” (…)