Nous nous sommes réjouis que la France, in extremis et à contrecœur, signe les traité de Rome instituant la Cour pénale internationale puis, au fil des années, se retrouve l’une des promotrices de la CPI – combattue par George W. Bush. Pourtant, la même France (ses chefs militaires et la quasi-totalité de sa classe politique) reste solidaire dans la négation des incroyables soutiens apportés en 1994 au génocide d’un million de Tutsi rwandais. Nous n’allons pas, parce que nous combattons obstinément cette négation, entrer dans le chœur des (…)