Dans notre numéro précédent, nous mentionnions qu’« une Cour constitutionnelle aux ordres a écarté sous des prétextes ridicules une série de candidats à la présidence » en Centrafrique, mais que tout n’était « pas encore réglé à ce sujet au moment où nous bouclons ». Nous évoquions la médiation de Bongo, ainsi que la résistance de la justice centrafricaine... Sur les 13 candidats, 11 sont finalement retenus. Le scrutin est repoussé au 13 mars. Cependant, la Françafrique n’a sans doute pas dit son dernier mot. (Achevé le 20/02/2005)