Éd. Charles Léopold Mayer, mars 2004, 182 p.,
16 € franco à Survie
Avec la contribution de Saïdou Sidibé
Préface de François-Xavier Verschave
La mondialisation s’accélère et l’on peut aujourd’hui constater que les mécanismes économiques et financiers ont laissé sur la touche des populations entières. L’aide publique au développement ne semble pas avoir rempli ses missions et n’a pas permis d’atténuer les déséquilibres Nord/Sud. En s’appuyant sur l’analyse approfondie des chiffres et de ce qui existe en matière d’aide publique au développement, Guillaume Olivier, acteur de terrain et spécialiste, en dresse un bilan parfois inquiétant mais jamais pessimiste. Le constat de l’insuffisance et de l’inadaptation de l’aide publique au développement débouche sur une série de propositions : respect des droits élémentaires inscrits dans les chartes internationales – à la vie, aux soins, à l’éducation, organisation de l’accès de tous à ces biens, construction d’une nouvelle solidarité internationale... autant de nouvelles priorités pour l’aide publique au développement.