" Il n’appartient pas à la Banque [mondiale] de faire de la gouvernance et de la lutte contre la corruption l’axe central de son action ; la réduction de la pauvreté doit rester sont objectif principal. " (Brigitte Girardin, rapporté par Le Monde, le 19/09).
Il faut donc croire qu’il n’y a entre les deux phénomènes, corruption des élites vendues aux multinationales et pauvreté des populations, aucun rapport de cause à effet...
Victor Sègre