Alain Joyandet a annoncé, le 19 juin, que l’Agence française de développement (AFD) disposerait d’un milliard d’euros supplémentaires par an « permettant de réorienter complètement l’intervention financière de la France ». La coopération française ressort ses vieilles recettes puisque ce milliard va être consacré exclusivement à l’aide bilatérale, tête-à-tête d’une diplomatie d’influence aux effets catastrophiques depuis 50 ans. On s’affranchit aussi de ses petits camarades européens.
RDB