Lu dans Le Nouveau Courrier, 28 juillet 2012.
L’universitaire français Jean-Pierre Dozon couine [dans Libération] : « Et, dès que Ouattara fait un faux pas, ceux qui restent fidèles à Gbagbo se réjouissent, comme si les erreurs de l’actuel président diminuaient implicitement la responsabilité de Gbagbo dans la crise postélectoralede 2010 ».
Mais qui, parmi les lecteurs français de Libé, sait que l’anthropologue au-dessus de tout soupçon a été fait “officier” dans l’ordre du mérite ivoirien par Alassane Ouattara quand il décorait, en janvier 2012, la flopée de Français (politiciens, diplomates, universitaires...) qui l’ont aidé à parvenir au pouvoir ? (...)