A nouveau interrogé (RFI 01/02), sur
l’attribution contestée du deuxième
terminal à conteneur du port autonome
d’Abidjan à Bolloré qui gère déjà le
premier, le ministre ivoirien J.L. Billon
confirme son hostilité à une situation qui
s’apparente à un monopole.
Ses
protestations n’ayant eu aucun effet, il
estime qu’elles sont arrivées trop tard, mais
se veut pourtant rassurant : non seulement «
il n’y aura pas d’abus de position
dominante », mais la deuxième concession
sera différente de la première, laquelle
contenait « des clauses léonines
inimaginables ».
Bolloré aurait-il profité de la guerre civile en 2004 pour les obtenir ? Inimaginable...