L’État socialiste poursuit sa surenchère belliciste tant à l’intérieur qu’à l’extérieur des frontières. Ainsi François Hollande veut « démanteler définitivement » le bidonville de Calais où vivent tant bien que mal des milliers de personnes, sans préciser quel sort « définitif » il réserve à ses habitants. L’état d’urgence a encore servi à y interdire la manifestation du 1er octobre « en solidarité avec les exilées ». Le consensus guerrier entre la droite, la gauche, les chefs militaires et les industriels est parfait. Défendue par (…)