Une loi historique : c’est ainsi que le gouvernement cherche à faire passer la loi sur le « devoir de vigilance » des multinationales qui a été adoptée le 21 février. Une bien belle histoire : en 2012, un candidat socialiste qui déclare vouloir « que soient traduits dans la loi les principes de responsabilité des maisons-mères vis-à-vis des agissements de leurs filiales à l’étranger lorsqu’ils provoquent des dommages environnementaux et sanitaires ». Reprendre à son compte l’idée que les actionnaires et dirigeants d’un groupe (…)