Sur l’international, Emmanuel Macron est tranquille : pas de Benalla ou de Hulot pour ternir le tableau qu’il aime dresser de son action. Rendez-vous traditionnellement dévoué à l’autosatisfecit, le long discours présidentiel (une heure et de mie !) à la conférence des ambassadeurs a été fin août l’occasion de réaffirmer tout le bien qu’il pense de sa politique internationale. Sans surprise, la priorité reste la "guerre contre le terrorisme", au nom de la quelle « nous nous sommes dotés d’une nouvelle loi pour la France » et, « au (…)