Début février, Emmanuel Macron s’alignait sur Donald Trump pour lancer un ultimatum au président venezuelien Nicolas Maduro. S’il ne laissait pas le pouvoir à son opposant, la menace d’une intervention militaire du « monde libre » était même évoquée. Ça fleurait bon la défense des droits de l’Homme et de la démocratie, la coalition de l’axe du Bien contre un régime autoritaire. Si bien que quelques temps plus tard, quand le peuple algérien s’est soulevé contre la tentative de prolonger le spectacle de la marionnette Bouteflika une cinquième (…)