On pouvait s’en douter. La mainmise, sans cesse rénovée, de la France sur ses anciennes colonies africaines n’allait pas être un enjeu de cette présidentielle. La guerre en Ukraine a même emporté l’animosité envers les réfugié.es ou l’islamophobie ambiante pourtant si partagées. Pour un temps. L’accueil des ukrainien.nes se fait comme une quasi évidence. La France pratique pourtant depuis quelques décennies le rejet violent et mortifère à l’encontre de celles et ceux qui ont fui d’autres guerres. Parfois françaises ou occidentales. L’auteur (…)