éditions Colophon, Collection Essais, Bruxelles, mars 2002, format : 210 x 140, 136 pages, (ouvrage épuisé).
À moins de déchirer la Déclaration universelle de 1948, il faudra bien parvenir à garantir à tous les enfants de la planète l’accès à l’éducation et à tous les êtres humains les besoins vitaux, l’accès à la connaissance et la liberté sans laquelle tout le reste n’est rien.
Si la nécessité du bien public est incontestée, les réponses historiques des diverses sociétés sont infiniment variées. Comment transposer la question à l’échelle mondiale, afin que les principaux intéressés, les laissés-pour-compte de la croissance, fassent valoir leurs droits, afin que les esprits s’ouvrent à cette revendication ?
La question est complexe, voire piégée. Ce livre s’efforce de la clarifier, selon un axe constant : le droit des peuples et des gens peut et doit se substituer à l’aide et à l’assistance, dont l’inefficacité, voire la nocivité, n’est plus à démontrer. Le bien public mondial, c’est cela.
Préface
Constats
– Maux secrets ou bien public, François-Xavier Verschave
Confrontations
– Quels biens, dans quel espace public mondial ? Etienne Le Roy
– Les biens publics mondiaux et la coopération internationale, Jean-Jacques Gabas, Philippe Hugon
– Aide, biens publics, intérêt général, Annie Vinokur
– Genre et bien public, Christiane Marty
Discussions, convergences et prospectives, François Lille
Cet ouvrage est épuisé.